Les actions de SOS Enfants ont retenu l'attention des médias, elles ont fait l'objet de reportages télévisés ou d'articles de presse divers.
Nous vous présentons ici un échantillon de ces témoignages.
Le 08 octobre 2018
La Croix, un article de Jean-Paul Musangania
L'abbé Arsène Masumbuko soutient la démobilisation des enfants-soldats en RD Congo
Lors d'une rencontre de l'association SOS Enfants, engagée aux côtés des enfants démobilisés des groupes armés en Afrique centrale, le père Arsène Masumbuko, administrateur général de Caritas Développement Goma au nord-est de la RD-Congo, a témoigné, lundi 24 septembre à Versailles, de son engagement pour la démobilisation et la prise en charge des enfants-soldats.
« Mille enfants-soldats sont une atrocité, (...) un enfant-soldat est un enfant-soldat de trop». Père Arsène Masumbuko assure que cette conviction de l'ancien secrétaire des Nations unies, Ban Ki-moon, a toujours inspiré son action de pacification depuis une dizaine d'années auprès des chefs de groupes armés qui enrôlent des enfants-soldats à l'est de la RD-Congo. Cette région frontalière, riche en ressources minières, est en proie à l'insécurité des groupes armés depuis le génocide du Rwanda. À l'heure actuelle, des enfants-soldats sont utilisés dans l'extraction et le contrôle des carrés miniers regrette Arsène Masumbuko lors d'une soirée organisée par SOS Enfants, le 24 septembre à Versailles.
L'abbé Arsène lance un appel pour les enfants-soldats au Nord-Kivu
Administrateur général de Caritas Goma, partenaire de SOS Enfants, l'Abbé Arsène Masumbuko a créé un centre d'accueil pour les enfants-soldats dans la commune de Walikalé au Nord-Kivu (République démocratique du Congo). Apôtre inlassable de la paix, il a réussi à faire sortir de la forêt près de 10.000 jeunes enrôlés de gré ou de force par les groupes armés. Mais leur situation reste précaire.
La reconstruction et la resocialisation des enfants-soldats passent par l'apprentissage d'un métier
Entretien avec Christel Rocheteau, déléguée générale de l'association internationale SOS Enfants qui se déploie dans la région des Grands Lacs pour la réinsertion des enfants-soldats aux côtés des partenaires locaux, notamment l'Association des Actions et Projets pour un développement durable (Aprojed) et la Ligue de Développement au Congo (Lide).
La Croix, un article de Jean-Paul Musangania Journée internationale des enfants-soldats
Réinsertion des enfants-soldats dans la région des Grands lacs
Seize ans après la promulgation de la Convention relative aux droits de l'enfant, interdisant leur implication dans les conflits armés, le continent africain compte le nombre le plus important d'enfants-soldats.
Le monde compte plus de 250 000 enfants-soldats impliqués dans des conflits armés et la moitié se trouve en Afrique, indique le dernier rapport du Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef). Il s'agit des mineurs (âgés de 6 à 18 ans) qui ont été kidnappés ou recrutés de force dans des groupes armés. Ils sont utilisés indifféremment sur le terrain de bataille combattants, boucliers humains, objets sexuels, messagers ou espions.
Depuis les années 1990, ces enfants-soldats sont notamment utilisés dans le cadre de conflits armés répétitifs en Afrique centrale notamment en RDC, au Rwanda et au Burundi.
Documentaire diffusé sur la chaîne France Ô à 16h40
Un reportage tourné au Cameroun dans la communauté Pygmée du FONDAF Bipindi.
Mabally Panda Romaric et ses camarades que l'on voit dans le film sont des enfants parrainés par SOS Enfants. lls appartiennent à un peuple autochtone et vulnérable vivant dans la forêt du Cameroun : les Pygmées Bagyeli.
Le film raconte la distance géographique et culturelle qu'ils doivent franchir pour pouvoir aller à l'école.
Ce chemin parcouru témoigne de leur envie farouche d'accéder à l'éducation comme tous les enfants du Monde et prouve que, sans le FONDAF et les parrains de SOS Enfants, cela leur serait impossible.
Le soutien de la Fondation Air France au Centre Ndako Ya Biso de Kinshasa
Air France Magazine - Novembre 2013
Le magazine mensuel distribué par Air France aux passagers de ses vols consacre dans son numéro de novembre 2013 un article au Centre au Centre Ndako Ya Biso sous le titre :
Enfance protégée.
En page 130 de la rubrique Air France News, cet article retrace le parcours d'une jeune fille de 12 ans, fille de la rue accueillie dans la maison récemment construite Centre Ndako Ya Biso pour l'accueil spécifique et la réinsertion familiale des filles de la rue de Kinshasa.
La Fondation Air France a accordé à SOS Enfants son aide à plusieurs pour le financement de cette action au profit des plus vulnérables en République Démocratique du Congo.
Documentaire diffusé sur la chaîne Planète à 19h45
Un reportage de François-Philippe Gallois dans la communauté Pygmée du FONDAF à Bipindi
Au sud du Cameroun les pygmées Bagyeli sont en train de vivre une profonde mutation de leur société : sortir de la forêt pour s'intégrer dans le monde moderne. Ce n'est pas simple pour ces chasseurs-cueilleurs car ils se confrontent violemment aux agriculteurs bantous, qui les ont toujours considérés comme des animaux de la brousse. Et quand le monde moderne tant espéré s'incarne dans leur forêt il le fait sous la forme d'un pipeline. La confrontation est alors plus violente qu'avec les agriculteurs bantous.
Angéline, Marcelline et Pascal sont trois Bagyeli très impliqués dans les combats pour la survie de leur peuple. Ils nous entraînent dans leur quotidien, à la lisière de ce qui leur apparaît comme un autre monde : le nôtre.
Un article du quotidien Le Monde
18 juin 2008
Dans son édition du 18 juin 2008, Le Monde a consacré plusieurs colonnes aux avantages de la méthode Zaï et à l'action de l'A.Z.N au Burkina Faso dans le cadre d'un reportage signé Gaëlle Dupont et intitulé :
Les Editions Bayard Presse ont consacré à notre action auprès des Pygmées Bagyeli au Cameroun un reportage dans le magazine FILOTEO d'octobre 2007 sous le titre :
Angéline enseigne chez les Pygmées
Le reportage met l'accent sur la marginalisation des Pygmées au Cameroun et l'importance de l'éducation des enfants pour la sauvegarde de ce peuple.
Sur quatre pages illustrées, Angéline retrace son enfance dans un campement Pygmée en forêt, son éducation au FONDAF et son métier d'institutrice qu'elle a choisi d'exercer dans ce même foyer pour permettre aux enfants Pygmées de s'intégrer dans la société camerounaise.
Présenté par Anne-Sophie Lapix et Harry Roselmack, un reportage télévisé sur notre programme d'aide aux enfants sorciers dans les rues de Kinshasa a été diffusé dans le cadre de l'émission Sept à Huit du dimanche 11 mars 2007 sur TF1.
Kinshasa, huit millions d'habitants au bord du fleuve Congo et 25 000 enfants abandonnés. Les ¾ d’entre eux ont été chassés par leurs familles avec un même motif : ces gamins seraient de petits sorciers, des « shégués » en langage local… Un mort, une maladie, une accumulation de problèmes dans une maison ? Ce sont eux qu’on accuse. La sorcellerie est devenue la « bonne excuse » pour se débarrasser de bouches en surnombre dans un pays où la pauvreté a explosé avec la guerre civile. Ruben et Joseph ont 10 et 7 ans. Deux frères dont le père et la mère ont disparu et que leur grand-mère a accusé d’avoir causé la mort de leurs deux petits cousins, décédés en fait d’une pneumonie. Car ce sont souvent les oncles, les grands-parents ou les secondes épouses qui poussent les gamins à la rue. Et qui ne leur épargnent rien : privations de nourriture, tentatives de désenvoûtement, interdiction de jouer avec les autres enfants ou encore expulsion de l’école. Arnold est éducateur de rue ; il a provisoirement pris Joseph et Ruben sous son aile. Grâce au soutien d’une ONG française, il essaie de recueillir les « shégués ». Mais les moyens manquent face à l’ampleur du problème. Et nombre de ces gamins abandonnés sombrent dans l’alcool, la drogue ou la prostitution. Reportage d’Emmanuel REITZ au Congo sur ces enfants maudits.
Le mail envoyé par le journaliste après le tournage
« Le tournage s'est très bien passé, l'équipe du Centre nous a vraiment bien aidés et a été à notre disposition tout en étant à l'écoute de ce que nous désirions filmer. Nous nous sommes appuyés sur 3 exemples tout en restant autour du rond point Ngaba qui a été le centre névralgique de nos préoccupations. Nous avons suivi le petit Frank, 13 ans surnommé Kabila, en médiation dans sa famille qui ne souhaite pour l'instant absolument pas aller au stade de la réunification. Nous l'avons suivi dans son quotidien diurne et nocturne autour du rond point. Et puis aussi Eric que nous avons ramené à la maison pour une réunification. Nous avons ainsi compris que, quelquefois, les enfants préfèreraient rester encore dans la rue car ils réintègrent leur foyer dans des conditions difficiles (ils dorment à 9 ou 10 dans moins de 10m2). Il y a aussi l'histoire du petit Joseph 8 ans et de son frère 10 ans, rentrés à la maison après un séjour dans la rue mais toujours considérés comme "sorciers" par la famille. Ils ont subi une séance de "libération" avec un prétendu pasteur. Moment très fort car nous avons vu la violence de cette séance qui, évidemment, n'a servi à rien. Arnold, très sensible, avait les larmes aux yeux et nous a montré que ce travail de charlatan "cassait" des mois de travail de la part des éducateurs. Ces enfants ont été ensuite emmenés dans une association tenue par des soeurs en attendant un placement dans une famille d'accueil. Nous avons également filmé un des leaders du rond point Ngaba (De Boss) qui nous a présenté "ses" enfants de la rue. Le tournage a parfois été difficile, surtout en extérieur où la population est plutôt agressive envers les caméras mais la présence d'Arnold et de Martin qui les connaissent bien nous a permis d'éviter une émeute, voire une agression ou un vol de matériel. »
Ils ont besoin de vous
Par le parrainage d'enfants vous permettrez au centre Ndako Ya Biso d'accueillir ces enfants des rues de Kinshasa et d'assurer leur retour en famille et leur scolarisation.
Vous pouvez les aider
Vêtements, nourriture, savon, draps, matériel scolaire, vous adoucirez le sort de ces enfants des rues en leur offrant un cadeau solidaire.
Magazine Questions de Femmes - Novembre 2006 Un reportage de Hugo Van Offel
Un reportage concernant notre programme de réinsertion des enfants des rues à Kinshasa est paru dans le mensuel Questions de Femmes du mois de novembre 2006.
Signé par le reporter-photographe Hugo Van Offel et consacré au problème des enfants sorciers, il expose concrètement le phénomène et met en avant le travail de réinsertion effectué par nos partenaires du Chemin Neuf à Kinshasa. A lire d'urgence pour prendre toute la mesure du calvaire que vivent ces enfants martyrs au Congo.
Un dossier spécial du journal Le Monde 30 novembre 2004
Dans son édition du 30 novembre 2004, Le Monde a consacré plusieurs colonnes à l'action de SOS Enfants et de l'A.Z.N au Burkina Faso dans le cadre d'un dossier spécial intitulé :
Action Madagascar, une bande dessinée dans un magazine pour enfants
Grain de Soleil, Bayard Presse - Mars 2003
Les Editions Bayard Presse ont consacré la couverture du magazine GRAIN DE SOLEIL de mars 2003 à notre action à Madagascar aux côtés de Théophile Jaofeno sous le titre :
Aidons Théophile, bâtisseur d'écoles
Une bande dessinée retrace l'histoire de Théophile à Befotaka-Nord, depuis son enfance jusqu'à la construction du Foyer Volamazava.
Les enfants ont répondu nombreux et généreusement à l'appel qui les invitait à soutenir l'action de SOS Enfants à Madagascar. Fabrication de gâteaux, vente de porte-clés, de marque-page et d'oeufs de Pâques décorés, ils n'ont pas manqué d'imagination et ont réussi à collecter les fonds nécessaires à la
construction de plusieurs écoles de brousse dans la région de Befotaka.